2.   L’édit d’avril 1771, annoblissant François et Philibert, fils de François (1686-1742).

    3.   Une notice de François (1745-1794) détaillant chacun de ses enfants. Lui-même fut emprisonné (parce que noble) sous la révolution et mourût peu après le 9 thermidor, récemment relâché.

    4.   1836/38.- Le journal de bord d’Henri qui fit le tour du monde sur un voilier comme chirurgien en second. Il avait 22 ans (200 pages).

    5.   19 sept.1849.- Conditions faites par Nous (Le Roi Louis-Philippe) à M. Henri Gueneau de Mussy, Claremont (original).

    6.   20 fév.1850.- Lettre de Louis-Philippe à Henri G. de Mussy, Richmond (original).

    7.   17 juil.1871.- Convention entre les Altesses Royales et Henri G. de Mussy, Yorkhouse -Twickenham (original).

    8.   29 août 1880.- Lettre de Henri à Raymond Séré de Rivières, demandant pour son fils la main de sa fille.

    9.    4 mai 1881.- Lettre de Raymond S. de Rivières à sa fille expliquant son refus.

    10.   20 mars 1889.- Note testamentaire du Comte de Paris, communiquée par la Comtesse.

    11.   Puis ce furent les premières années du mariage de nos grands parents Mussy.

    12.   La Belle Époque – Les Cousiño à Paris – La rue de Lota – Les mariages des 2 sœurs.

    13.   L’horrible guerre des tranchées. Le drame de Maman avec la perte de son premier enfant, puis de son mari dont elle était devenue profondément amoureuse, et cela avec une santé entamée à la suite d’une sale phlébite.                etc ... etc ...  (600 pages).

Ces extraits n’ont pas de prétention mais je pense que peut-être personne n’allait les recueillir et qu’ils pourraient émouvoir d’autres personnes de la famille comme ils m’avaient émus moi-même. (Ce n’a pas l’air d’être ton cas). J’ai continué jusqu’à nos jours, recueillant les extraits de lettres ou de documents qui me semblaient valoir la peine.

Tout est authentique mais pas forcément vrai car d’une part il s’agit de « mon » choix des extraits et d’autre part beaucoup d’éléments hors de ma portée pourraient modifier ces notes ; mais il ne m’était pas possible de faire mieux et ce n’est déjà pas mal.    ….

Dim.16 mars 2003.- De Alain de M, 32 rue de Lyon à Tilo, Augusto Leguía 064 :   ...  Lorsqu’on ne sait pas on se tait ! et c’est ce que j’aurais dû faire car c’est sur des ouï-dire que j’affirmais des faits qui n’étaient pas. Si je t’ai peiné je te demande de m’en excuser. Ce n’est que quelques mois après notre conversation malheureuse que nous avons su ce qui s’était passé et j’en ai été suffoqué.  ...

De Noëlle :   ...  Dès le soir passé, la « gentille messagère » nous a remis ta lettre et une joie profonde a pénétré mon cœur que j’avais bien lourd quand je pensais à toi. Alain t’explique notre sotte attitude mais je pense aussi qu’ayant vécu depuis trois ans et de mis dans la même situation avec Emmanuel puisque Sabine l’a quitté, cela nous a rendus bien humbles devant ces situations si douloureuses.

L’année 2002 fut une année « horribilis » car Alain a eu des nodules cancéreux au cerveau et il a subi chimio et radiothérapie de janvier à juillet avec succès.

Une petite gazette de la famille : Ta « préférée » Domitille a 46 ans, toujours dans les soins palliatifs (accompagnement en fin de vie). Ses trois fils : Antoine 19 ans est étudiant à Lille et veut être ingénieur, Vincent 16 ans pense à la médicine et le dernier Rémi 14 ans pense à ses championnats de judo, il y excelle.

Laure toujours à Granville, mène avec son mari professeur de Phys/chimie, une vie agréable. Les trois   enfants : Ombeline 12 ans, Donatien 9 ans et Gilda 7 ans vont bien.